02 août 2007

L'ozone réduit les performences du cerveau

Selon l'Institut Paul Scherrer, qui reconnait cependant que ses analyses ne sont pas totalement fiables, les limitations temporaires et locales de vitesse, comme elles sont pratriquées en période critique dans certains cantons, n'ont pratiquement pas d'effet sur la production d'ozone.
C'est certainement vrai que le comportement de ce gaz nocif est trop complexe pour que des mesures limitées dans le temps et dans l'espace aient des effets spectaculaires. Ce d'autant plus quand ces mesures consistent à limiter la vitesse plutôt qu'à limiter la circulation.
Même si c'est peu efficace, c'est toujours mieux que les recommandations vaudoises qui, faute de mesures préventives efficaces, arrivent toujours lorsque les concentrations d'ozone dépassent déjà largement les valeurs limites, et qui consistent à déconseiller aux gens de pratiquer du sport, notamment le vélo, pour éviter les effets nocifs de l'ozone sur leur santé...
Une situation paradoxale où ce sont ceux qui ne polluent pas qui sont pénalisés, voire encouragés à utiliser leur voiture plutôt que le vélo.

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